Tu t’es vendu par cupidité,
tu as renoncé à la poésie
pour faire le pitre ;
avide comme tu l’étais,
tu as poignardé l’art.
C’est là qu’a commencé
ta déchéance.Mario Vargas LIosa
vous pourriez aussi aimer
Tu t’es vendu par cupidité,
tu as renoncé à la poésie
pour faire le pitre ;
avide comme tu l’étais,
tu as poignardé l’art.
C’est là qu’a commencé
ta déchéance.Mario Vargas LIosa