Mon pouvoir prend fin lorsque je couche le poème sur le papier. Après cela, il ne m’appartient plus, il appartient à quelqu’un d’autre, et je ne peux pas contrôler ce qui en est fait.
Mon pouvoir prend fin
lorsque je couche
le poème sur le papier.
Après cela, il ne m’appartient plus,
il appartient à quelqu’un d’autre,
et je ne peux pas
contrôler ce qui en est fait.Louise Glück